Les personnes dépressives présenteraient des déficits dans les processus d'inhibition. Leurs performances pourraient révéler des ralentissements neurodéveloppementaux des structures frontales et/ou transcaleuses. En effet, les coûts cognitifs liés à la réalisation de certaines tâches nécessitant une planification, une recherche délibérée d'informations en mémoire, la coordination de deux tâches simultanées, ou la détection et correction d'erreur, sont connues pour impliquer les structures préfrontales et les performances pourraient être dépendantes de l'intégrité du corps calleux...