Dans un contexte qui admet les transidentités en dehors du prisme pathologique tout en reconnaissant la dysphorie de genre comme une souffrance, les expériences scolaires des jeunes trans* restent fréquemment mauvaises. Or une majorité d’enfants et d’adolescent· es est scolarisée, l’école prend donc une place importante dans leur vie. Les enseignant· es sont des adultes qui impactent la construction et le développement des jeunes (Baudoin & Galand, 2021, p. 130). Ce qui questionne sur leurs connaissances et représentations du sujet et l’impact de celles-ci sur l’accueil et le bien-être des élèves avec dysphorie de genre et/ou trans*.