Cette dissertation doctorale aborde quatre sujets différents de la physique solaire par des méthodes théoriques et des simulations numériques. L'un des projets est consacré à l'étude de points brillants apparaissant dans la région intergranulaire du soleil, dans les simulations privées de champs magnétiques. On y explique leur existence et on les étudie d'un point de vue statistique. L'étude de la divergence du champ magnétique due aux erreurs d'arrondi dans les simulations est un des autres sujets de ce travail de recherche. Un troisième projet traite de la section efficace totale des processus de transition électronique lié-libre et lié-lié de l'atome d'hydrogène isolé. On démontre que la section efficace totale comme fonction de la longueur d'onde n'a pas de discontinuité à la limite de Balmer, et on calcule analytiquement sa valeur en cette limite. Le dernier projet est une étude de la lumière polarisée émergente de la partie continue du spectre solaire. On y montre que le faible niveau de polarisation au centre du disque solaire devra être pris en compte dans les procédures de calibration des polarimètres de la nouvelle génération de télescopes.