Parmi les 300 tombes découvertes dans le cadre des fouilles entreprises depuis 2012 sur l'esplanade de Saint-Antoine, un petit groupe de sépultures retient l'attention. Il s'agit de quatre inhumations multiples dont la datation est comprise entre le 12e et le début du 16e siècle et qui font ici l'objet d'une présentation ciblée des premières observations anthropologiques, complétées par des analyses génétiques.