La première partie de cette thèse traite la détection des ondes gravitationnelles : trois travaux sur des détecteurs fonctionnant aujourd'hui, ou des projets possibles sont présentés. Premièrement, la controverse question de savoir si la sensibilité des antennes résonnantes (cylindres et sphères) est en réalité beaucoup plus grande (jusqu'à un facteur 10^4) que ce qui est prévu classiquement est résolue définitivement. Suivent les résultats théoriques des calculs donnant les amplitudes des oscillations de six capteurs TIGA d'une sphère métallique en hypnotisant une source sur le plan galactique. On étudie enfin les réelles possibilités des interféromètres à particules, plus petits et meilleur marché que les actuels interféromètres laser. La deuxième partie se concentre sur les nouvelles idées qui peuvent être appliquées à l'analyse des données, dans les expériences de détection des ondes gravitationnelles, mais aussi des expériences liées à la cosmologie et l'astrophysique. En particulier, on analyse les conséquences que les inhomogénéités de l'univers en expansion peuvent avoir sur le flux de rayonnement des chandelles standard (supernovas de type 1a), mesurés à redshifts z différents.